Brontëismes Une sélection d’images qui évoquent l’univers des Brontë. L’enfance des soeurs Brontë a été marquée par une vive passion pour la lecture, et par les 12 petits soldats de bois que reçu un jour Branwell et qui furent le point de départ des jeux de rôles du monde imaginaire d’Angria et de Gondal – Joseph Guy Seymour (1824-1910) Les enfants Brontë, dès leur plus jeune âge, inventèrent le monde imaginaire d’Angria pour les petits soldats jouets de Branwell. Ils ont consigné leurs aventures dans de nombreux petits livres et magazines faits à la main – Albert Anker (1831-1910) Pendant l’enfance, réunis autour de la table de la salle à manger, les enfants Brontë passent des soirées entières à lire et à inventer des mondes imaginaires – Eugene Carrière (1849-1906) Les deux aînés des Brontë, Charlotte et Branwell, étaient particulièrement complices dans la saga du monde d’Angria. Tous les enfants Brontë se passionaient par ailleurs pour la lecture de journeaux, plus particulièrement pour le journal écossais «Blackwood’s Magazine» – John Dawson Watson (1832-1892) On dit d’Emily qu’elle était profondément absorbée par son univers imaginaire, n’ayant que peu d’intérêt pour les maigres perspectives que lui offrait le monde extérieur. Charlotte, pour sa part, montrait de l’ambition et un vif intérêt pour les expériences de la vie, principalement à travers son frère Branwell pendant son enfance, pour elle-même plus tard. La plus jeune des trois soeurs, Anne, la «philosophe» de la famille, très proche d’Emily, fut pourtant celle qui se confronta (avec succès) le plus longtemps à un emploi à l’extérieur du cercle familiale, en tant que gouvernante. – Constantin Hansen (1804-1880) Les enfants Brontë, en tant qu’enfants de pasteur anglican, se devaient d’aller à l’église et de lire la Bible – Thomas Webster (1800-1886) Emily Brontë, tout particulièrement, développa une relation fusionnelle avec la lande du Yorkshire, au point de se languir si elle était privée de ses longues promenades sur les «Moors». Friedrich von Amerling, 1834. Crédit photo : © Christian Wachter, 2007. Ce pourrait être Charlotte adolescente – Rudolph Friedrich Wasmann (1805-1886) Les soeurs Brontë eurent accès à tous les livres de la bibliothèque de leur père, un privilège dont peu de jeunes filles bénéficiaient à l’époque. Cette immersion dans la littérature offrit à ces futures écrivaines une riche source d’inspiration, qui alimenta considérablement leur monde imaginaire et leurs romans – D’après William Henry Hunt (1790-1864) …ou imaginer ici Charlotte écrivant Jane Eyre…- William Henry Hunt (1790-1864) …ou l’une des Brontë en train de peindre, puisque c’était l’une de leurs occupations favorites – Miklos Barabas (1810-1898) On dirait Charlotte en visite chez son amie Ellen Nussey – Leonard Campbell Taylor (1874-1969) Lorsque les soeurs Brontë devaient travailler loin de la maison en tant qu’enseignantes ou gouvernantes, les lettres reçues de leurs proches offraient un réconfort nécessaire pour leur donner le «courage d’endurer». – William Henry Hunt (1790-1864) Ce tableau «La gouvernante» évoque Charlotte et Anne Brontë dans leur travail de gouvernante chez différentes familles, un travail obligé qu’elles n’ont guère apprécié – Richard Redgrave (1804-1888) Dans cette autre tableau intitulé «La gouvernante», on croirait voir Jane Eyre en train d’essayer d’enseigner à Adèle pendant que M. Rochester batifole avec la belle Blanche Indgam… – Rebecca Solomon (18832-1886) Une chambre de gouvernante au XIXe siècle – Alice Squire (1840-1936) On dirait Jane Eyre hantant les couloirs de Thornfield Hall, la maison d’Edward Rochester… – Leonard Campbell Taylor (1874-1969) Mystérieuse Emily, forte et enjouée avec ses proches, très timide avec les étrangers. Elle a longtemps préféré les robes à manches gigots, comme sur ce dessin, même longtemps après que la mode fut passée – Josef Danhauser (1805-1845) Un portrait qui pourrait évoquer l’héroïne du roman «Shirley» de Charlotte, inspirée d’Emily – Charles Fraser (1782-1860) Un autre portrait qui pourrait évoquer l’héroïne du roman «Shirley» de Charlotte, inspirée d’Emily – Károly Brocky (1808-1855) Emily secrète et farouche… – Abbot H.Thayer (1849-1921) Agnes Grey ? – John Everett Millais (1829-1896) Villette ? – Barend Cornelis Koekkoek (1803-1862) Charlotte et son père… © Time Life Pictures, 01-01-1900 Partagez :Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)PlusCliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)J’aime chargement…